20 mai 2011
PROSE: Mélancolie du Vampire
Oh ! forme de l’être brisé
Dans laquelle se faufile une danse de ténèbres et d’obscurité
Mélancolie sans fin d’une âme perdue
Qui se lie à tout jamais d’un corps sans paraître !
Etreinte mortelle et éternelle avec un fantôme par trop irréel
Coulent quelques larmes de sang d’un cœur déchiré
D’une vie bien fade qui a été adjugée
À une âme qui ne cesse de brûler
À un corps qui veut se libérer
D’esprit est et oser
Malgré tous les espoirs et tous les souhaits abandonnés
Implorant qu’enfin cette vie soit terminée
Le Dormeur doit enfin s’éveiller ou à jamais s’éthérer
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